Prévoirles règles de sécurité et leurs sanctions dans le règlement intérieur, Donner à chaque chasseur de la battue avant la pré ouverture un règlement sécurité spécifique et un plan succinct du territoire. Placer les tireurs avec des consignes de tir, bien remplir le carnet de battue et faire émarger les chasseurs.
RAPPEL/ SECURITE AUX CHASSEURS d’îLE-DE-FRANCE 2/3 CHASSE COLLECTIVE DU GRAND GIBIER Avant le départ de chasse, je m’assure que les panneaux avisant d’une action de chasse en cours ont bien été mis en place. Lors du rond, je suis attentif : à l’organisation de la journée, aux consignes de tir, à la composition des équipes, aux codes de sonneries et AUX REGLES DE
Nouschassons le grand gibier sur un territoire privé de 300 ha entre Angers et Nantes, qui possède un beau relais de chasse avec une grande cheminée pour partagé les repas. Déroulé d’une journée : Rendez-vous à 8h30 le matin pour le café, qui se suit d’un rond ou sont expliquées les consignes de tirs et de sécurité de la journée.
Evitezde tirer à genoux ou assis. N'employez jamais de double détente ou de « stecher » en battue. Ne tirez pas un gibier se dirigeant vers un voisin. Ne quittez jamais votre poste avant la fin de la battue, même pour vérifier un tir ou achever un gibier blessé. Le ferme Un seul chasseur, désigné avant la battue, doit servir un ferme.
CONSIGNESDE SECURITE EN BATTUE AU GRAND GIBIER DANS LE 64 (SDGC 2020/2026) Dans le 64, la battue débute à partir de 5 chasseurs équipés d’armes à feu. En deçà, le piqueur est responsable et doit placer les chasseurs dans le respect des règles de sécurité générales.
13 Chasse du grand gibier en battue Le registre de battue est obligatoire Version de juin 2014 1. Il est conseillé de baliser les accès de la zone chassée pour information auprès des non chasseurs Il est obligatoire pour les postés, traqueurs et accompagnateurs de porter un effet vestimentaire de couleur vive (orange de préférence) La pibole ou trompe de chasse est
Suiteaux drames survenus dans la région dans l’exercice de la chasse en battue, il est important de rappeler les règles de sécurité au moment du tir
inscritessur la feuille journalière du registre de battue, • de désigner des chefs de lignes pour encadrer un grand nombre de participants, • d’effectuer la lecture des consignes de sécurité déclinées dans le registre de battue, • de donner les consignes de prélèvement intéressant les catégories et espèces autorisées,
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Auteur Suzanne Boireau-Tartarat Publié vendredi 8 septembre 2017 Gibier. La saison de chasse à tir ouvre ce dimanche 10 septembre. La Fédération départementale des chasseurs de la Dordogne a profité d’une séance d’information sur la sécurité en battue, à La Roche-Chalais, pour faire un point plus général. La chasse s’ouvre à plus de sécurité Le pavillon de chasse Darnat, à La Roche-Chalais, est bien rempli et l’ambiance est studieuse. Les inscrits ont décliné leur numéro de permis en arrivant et écoutent le technicien rappeler les consignes générales de sécurité, et plus particulièrement celles de la chasse au grand gibier en battue, avant de se diriger vers les exercices pratiques qui leur permettront d’observer le positionnement, le respect des angles, le maniement des armes, toutes révisions utiles qui garantissent la sécurité de tous. Ces demi-journées d’information répondent à un véritable besoin, souligne Michel Amblard, président de la Fédération des chasseurs de la Dordogne. Près de 300 sociétés ont déjà fait acte de candidature pour cette première saison, soit plus de 3 000 chasseurs. » Elles s’ajoutent aux formations en vigueur et opérations de sensibilisation, et permettent des rencontres de proximité, sur le terrain. Les équipes au complet y trouvent des réponses concrètes aux caractéristiques de leur territoire. Des formations existent déjà depuis une dizaine d’années pour les directeurs de battues ils sont responsables d’une équipe et donnent les consignes de sécurité, d’organisation de la partie. Nous avons formé 4 000 directeurs de battues et des responsables de lignes, qui viennent en renfort, souligne Yves Chétaneau, administrateur de la Fédération. Nous allons maintenant plus loin en faisant le tour des huit secteurs de chasse du département. Ces formations de proximité réunissent quarante participants par séance, toute une équipe de battue. » Ces demi-journées viennent en complément de la vingtaine de séances délocalisées déjà proposées. Beaucoup plus théoriques, elles avaient attiré 3000 chasseurs sur des sujets comme la balistique, les risques de ricochets et effets tunnel. On a le souci d’aller au contact et de rester dans le registre pratique. » Celui-ci porte sur la manipulation d’armes et les angles de sécurité à respecter. Nous souhaitons que tous s’approprient au mieux ces règles de sécurité. Nous faisons de gros efforts dans les moyens mis à disposition, nous ajoutons cette année 1 500 miradors aux 5 000 déjà mis en place dans tout le département pour faire du tir fichant, de haut en bas. » Comme c’est aussi le cas en matière de sécurité routière, les détenteurs d’un permis récent sont davantage sensibilisés à ces questions, et les autres sont peut-être ancrés dans des habitudes qu’il faut faire évoluer c’est tout l’enjeu de la formation continue. Ouverture générale Tous les participants seront donc parés pour l’ouverture générale, dimanche à 8 heures et jusqu’au 28 février à 18 heures. Pour respecter la biologie et les rythmes de reproduction des espèces, certaines chasses comme celles des cervidés et du lièvre, sont repoussées au mois d’octobre. Les consignes de sécurité sont d’autant plus importantes que la chasse au sanglier est autorisée tous les jours, décision prise avec les services de l’État, ce qui place les chasseurs en présence des autres usagers de la nature. Le partage de l’espace se fait en bonne intelligence. Ici même, l’autre dimanche, une marche était organisée, les organisateurs nous ont fait connaître les circuits et nous avons changé nos plans de chasse. » La communication passe utilement par les mairies, qui font le lien avec les 1 500 sociétés de chasse réparties sur l’ensemble des communes de Dordogne, lesquelles prennent des mesures lorsque des rallyes et randonnées sont battues, tout comme les interventions en zone périurbaine, entrent dans la nécessaire régulation des populations de gibiers qui endommagent les cultures et s’approchent des habitations. Deux ouvertures anticipées ont déjà eu lieu. Le 15 août pour le sanglier et au 1er juin pour l’approche et l’affût du chevreuil et du sanglier, avec possibilité de tirer le renard. » Michel Amblard parle en passionné, mais indique que la chasse est d’abord une nécessité. Une année sans plan de chasse serait une catastrophe, notamment pour les cultures. » Il suffit de se reporter aux chiffres ci-contre. Il déplore que beaucoup d’agriculteurs ne soient plus chasseurs. Ils n’ont plus cette culture, mais attendent beaucoup de nous. » Le profil du chasseur Le chasseur est issu de petites communes ou de l’espace périurbain, et souvent d’une famille de chasseurs. Le nombre de chasseurs ruraux diminue parce que la population diminue aussi dans cet espace, explique encore Yves Chétaneau. Parallèlement, les espèces prolifèrent. Nous maîtrisons la situation en ciblant les secteurs à problème. La Dordogne est bien placée parmi les départements pour le cerf et, dans une moindre mesure, le sanglier. » Les animaux sauvages savent trouver les zones de tranquillité et les chasseurs ont du mal à approcher ces espaces de refuge, à proximité des maisons ou dans les ronciers, les mitages de territoires non chassés et les bordures d’autoroute. Tout est dans l’équilibre cynégétique. Les massifs forestiers sont riches en gros gibier et la Fédération s’efforce d’éviter leur installation dans les zones agricoles. Le travail de concertation est réel entre chasseurs, agriculteurs et forestiers. Les chasseurs, en plus d’assurer une régulation, remplissent bénévolement une mission sanitaire avec des piégeurs pour la capture de blaireaux. Bienvenue aux nouveaux Pour susciter l’intérêt et attirer de nouveaux chasseurs, la Fédération a élargi cette année le permis à zéro euro qu’elle avait mis en place pour les moins de 25 ans validation, timbre aux grands gibiers et assurance sont pris en charge pour tout nouveau chasseur. Cette année, le nombre d’inscrits au permis est en légère hausse 10 %. Avant cela, une offre de parrainage permettait un demi-tarif pour le nouvel arrivant présenté par un membre affilié. Un partenariat avec les armuriers permet aussi de convaincre des indécis, le facteur coût intervenant aussi dans le choix de l’équipement. Un système d’offres de réductions s’est mis en place avec les professionnels il en existe au moins un dans chaque chef-lieu de canton. Autre porte d’entrée le choix de sa société de chasse. Quelle équipe intégrer ? La Fédération a amélioré la bourse aux territoires diffusée sur son site Internet, avec des offres postées plus régulièrement. Enfin, Un dimanche à la chasse permet depuis 4 ans de suivre une partie une centaine de personnes viennent chaque année. Le 15 octobre, le public pourra découvrir le monde de la chasse... et chasser quelques idées reçues avec une équipe qui l’accompagnera à l’occasion de cette opération, qu’il s’agisse de battue, petit gibier, approche ou palombière. C’est possible près de chez soi, gratuitement et sans formalités. ÉTAT DES LIEUX • L’année 2016/17 en chiffres- 20 070 validations de 1 764 cerfs prélevés pour 2 282 attributions ; 15 247 chevreuils pour16 768 ; 10 071 sangliers dont 260 en mars et 219 entre le 1er juin et le 15 août. Les attributions sont similaires à l’année précédente. - 1 137 personnes ont bénéficié d’une ou plusieurs formations à la Fédération permis de chasser, chasse accompagnée, chasse à l’arc, chasse silencieuse, directeur de battue, hygiène et venaison, piégeur agréé, garde particulier, régulation de corvidés. • Déchets de venaisonDans le cadre de la veille sanitaire, une collecte des déchets de venaison s’effectue dans 51 points du département, ce qui représente 324 tonnes ramassées et traitées la saison dernière. Entièrement financée par les chasseurs, elle a été mise en place avec une société d’équarrissage. Lancée il y a 6 ans 200 tonnes collectées à l’époque, la collecte a débuté plus tôt cette saison, au 15 août. • EnvironnementJusqu’à présent, si les cartouches étaient bien ramassées, elles n’étaient pas recyclées et partaient avec les déchets courants. Cette saison,5 000 sacs vont être distribués pour la collecte des cartouches vides. Ils seront rapportés dans les lieux de collecte permanences et siège social de la Fédération pour être pris en charge par Suez, qui va valoriser le métal et le plastique séparément. Toutes les sociétés de chasse, les associations et les palombières 1 950 en Dordogne vont en bénéficier. • EmploiLa Fédération emploie 19 personnes, dont 8 techniciens.
L’office français de la biodiversité, au-delà de délivrer les permis de chasser après examen, accompagne les fédérations ainsi que les chasseurs dans la mise en œuvre des consignes de sécurité. Ainsi, des dispositif de contrôles sont mis en place pour vérifier le bon respect des règles de transport, de détention etc… Ce week-end, six agents ont réalisé une campagne de contrôles de sécurité auprès des chasseurs morbihannais. Veste fluo obligatoire. 95 chasseurs du Morbihan ont donc été contrôlés par les inspecteurs de l’OFB ces 28 et 29 novembre. Quatre infractions ont pu être relevées, des défauts de marquages concernant deux bécasses espèce soumise à un PMA et deux chevreuils espèce soumise à plan de chasse. On délivre les permis de chasse, et on s’assure ensuite que les normes de sécurité sont bien respectées. C’est important pour les chasseurs comme les non-chasseurs Le but des chasseurs et des inspecteurs, éviter à tout prix les accidents. C’est pourquoi, à chaque début de battue, le responsable rappel les consignes et règles de sécurité avant de démarrer la chasse. En voici quelques unes Détenir son permis de chasse et sa validation annuelle, son assurance ; Une veste de couleur fluo facilement identifiable jaune ou orange selon les départements, Ne pas tirer en direction d’une route ou d’habitations, Respecter l’angle des 30 degrés. Transport de l’arme en étui ou démontée. Il y a aussi les règles non écrites comme la courtoisie avec les autres usagers de la nature. Dans le quotidien l’Ouest France, Bruno Jaffré, directeur de la fédération des chasseurs du Morbihan explique C’est parfois plus compliqué qu’on ne le pense car certaines personnes n’aiment pas les chasseurs. Mais on communique, on échange. » Forte baisse des accidents En France, les accidents dans le monde cynégétique sont en forte baisse. Guy Milloux témoigne » Dans le Morbihan, pour la saison 2019-2020, on dénombre trois accidents non mortels . Cette baisse est liée à la formation inculquée par l’OFB. Cette formation a pour pilier la sécurité. De plus, toujours plus soucieux de limiter les accidents et incidents, un cycle de remise à niveau tous les 10 ans est mis en place depuis la parution d’i-un décret en octobre 2020.
consigne de sécurité avant battue grand gibier